1, Turin :  occupation d’une demi heure de la salle « VIP » de la gare.

2, Milan : Tags et banderoles No tav dans le quartier Lambrate.

3, Milan :  Rassemblement musical sous la prison de San Vittore.

4, Milan : Plusieurs tags de solidarité apparaissent piazza duomo

5, Latuba : Tags sur les murs de la ville et dans d’autres localités de la région.

6, Turin : Un Frecciarossa ( TGV, ndt) est bloqué dans la gare.

7, Milan :  Tractage solidaire devant le siège de la CMC, entreprise gagnante de l’appel d’offre pour le TAV en valsusa.

9, Turin : Par peur des contestations la presentation d’un livre ou été prévue la présence du procureur en chef Caselli est annulé. Une manifestation spontanée d’une centaine de personnes travers les rues de la ville.

9, Gènes : Rassemblement et manifestation dans la ville

11; Gènes :  Manifestation et rassemblement sous la prison de Marassi. Certains journaux parleront d’un incendie causé à une voiture d’un maton. Peu avant été apparus des tags en solidarité et contre Caselli, dans le centre et dans les quartier de San Fruttuioso et Sampierdarena.

11, Turin : Attaque informatique d’Anonymous contre le site web de la prison des Vallette, rendu inaccessible durant plusieurs heures, en solidarité aux compagon-ne-s enfermé-e-s là bas.

11, Trento : rassemblement solidaire sous la prison.

12, Rome : un groupe de solidaires interromps le spectacles d’ascanio Celestini  » Pro Patrie ». Manifestation et rassemblement devant les prisons de Turin, Alba, Alessandria, Cuneo, Ivrea, Saluzzo, ou ont été transférés certains des arrétés No Tav

13 Milan :  A la gare de Milan-Certosa un groupe de solidaires No Tav bloque durant 30 minutes un Frecciarossa direct pour Turin, la banderole brandie sur le quai disait :  » comme la neige, bloquons tout ». Dans le quartier Ticinese, dans le même temps ont été peint 3 gigantesque fresques de solidarité avec les arrêtés.

13, Val Polcerva (Gènes) : Une fresque de 40 metres avec ecrit :  » No Tav – Liberté pour tous – No Gronda – Hors les troupe de la val Susa  » est peinte dans une zone concerné par le projet du Terzo valico (autre projet de train à grande vitesse, ndt).

14, Milan : Blitz d’un groupe d’étudiant contre le siège central de la Banque Intesa – San paolo, un des principer financeur du projet Tav, qui est fermé par le personnel. Des tags et des affiches sont laissés.

14, Turin :  La vitre des bureaux du département de l’administration pénitentiaire sont endommagés.

15, Rome : Rassemblement No Tav à la gare Tiburttina

16, Milan : Rassemblement devant le siège de la CMC.

16, Bologne :Une vingtaine de solidaires occupent durant une demi heure la salle Club Eurostar. A Parme, rassemblement devant la station.

16, Venise : Occupation et demantellement d’un bureau de la Frecciarossa.

18, Milan : Cortège de 3000 personnes.

18, Gènes : insultes tagués sur les murs et gros pétards dans les rues du centre historique pour l’arrivée de Guancarlo Caselli.

25, Val de Susa : en solidarité avec les arreté-e-s, et contre la Turin-Lion, 75 000 personnes marchent de Bussoleno à Susa.

26, Val de Susa : à Avigliana une centaine de No Tav ont fait un payage gratuit laissant passer les automobilistes.

27, Clarea : à l’aube commence l’expropriation des terrains qui doit mener à l’agrandissement du chantier. Luca réussi à monter sur un pylone pour tenter de ralentir les operations. Suivit par les flics, il est foudroyé, tombe et est gravement blessé ce qui le conduira à l’hopital pour 109 jours. La protestation se difuse dans toute l’italie et durant les trois jours et les trois nuit qui suivent la possibilité de traverser les alpes est mise à mal, en particulier à Chianocco, vers Bussoleno, ou les nationales, autoroutes et voies de chemin de fer sont proches.

27, Trento : Juan arrété le 26 janvier et détenu dans la prison de Spini di Gardolo à Trento, refuse de rentrer en cellule apres l’heure de promenade.

27, Parme : 200 personnes se retrovuent devant la prefecture, apres presque quarante minutes de  rassemblement blocant le trafic, départ en manifestation spontanée traversant et bloquant plusieurs rues de la ville.

27, Florence : une manifestation sauvage de presque 200 personnes part de la prefecture pour aller à la gare. Ne réussissant pas à entrer, elle bloque le Tram.

27, Pise : Manifestation puis occupation des quais de la station durant 40 minutes.

27, Milan : Manifestation sauvage avec occupation-blitz au siège de « libero » (quotidien, ndt). Des petards et des fumis péte,t tandis que le portail est recouvert d’insultes.

27, Rome : Vers 17 heures, un rassemblement se transforme en manifestation sauvage, continuellement poursuivie par les CRS  jusqu’a la gare. Les quai 1 à 11 sont occupé près de 20 minutes. Plusieurs trains don un frecciarossa sont dégradés. Les manifestants entrés dans la gare rejoignent ceux laissés dehors et recommencent à bloquer les rues en cortège, jusqu’a l’autoroute, paralisant le trafic de la zone.

28, Rome : Le siège du « Messagero » est attaqué avec de la peinture et des tags No Tav

28, Lecce : Une vingtaine de manifestants occupent un quai bloquant un train frecciargento pour Rome, parti avec 50 minutes de retard. Les manifestants partent ensuite en manifestation.

28, Ferrara : Dabns la nuit entre le 27 et le 28 février des inconnus mettent feu au portail du siège local de Uniindustria. Sur le mur apparait le tag  » No Tav « .

29, Val de susa : L’expulsion des bloccages de rue est ordonnée. Les manifestant assis sur l’autoroute sont chargés puis dispersé avec les canons à eau suivit jusque chez eux à coup de lacrymogenes et matraques.

29, Gènes : Tot le matin, à Ponte Etiopia les ouvriers portuaires effectuent un blocage de quelques heures. Vers 19 heures une trentaine de personnes bloque durant une heure le départ d’un frecciabianca direct pour Rome. Avant de partir sont taggés « force à Luca », « état assassin », « no tav ».

29, Barcelone : rassemblement devant le consul italien

29, Lima (Peru) : une banderole apparait sur le consulat Italien. Un tag est aussi laissé sur place

26, dans toute l’Italie : dans la matinée une opération, de police mène à l’arrestation de 26 personnes et à des mesures restrictives pour 15 autres. Au total 52 personnes sont inculpées pour les journées du 27 juin et du 3 juillet Chiomonte. Les délits constatés sont blessures, violences et résistance à personne dépositaire de l’ordre public. Les témoignages de solidarité en faveur des arrétés sont innombrables : rassemblements, manifestations sauvages, moment de salut pyrotechnique sous les murs des prisons se déroulent à Turin, Padoue, Bologne, Trento, Asti, Cagliari. A Rome quelques étudiants montent sur les toits de Trenitalia en signe de protestation

27, Turin  :    Trois sacs de merde sont lancées contre la rédaction du quotidien « CronacaQui » qui a publié les photos utilisés par les enquêteurs pour identifier certains des arrêtés. A Milan dans certains quartiers sont apparus des tags no Tav et de solidarité.

28, Turin : L’initiative prévue depuis longtemps d’amener les gravats de la ValSusa au siege de la Région, se transforme en une manifestation contre les arrestations ou participent, sous la neige, des milliers de personnes. Le siège de « La Stampa » est recouvert de peinture et de nombreux tags sont laissés le long du parcours. Tandis qu’a Cagliari, un groupe de solidaire décide de bloquer la gare de Piazza matteoti et entre en scandant un slogan « en solidarité avec la lutte no tav et les arrêtés ». Le groupe se positionne sur les quais et y restent 40 minutes retardant quelques trains, puis donne vie à une manif spontanée dans les rues du centre.

29, Rouen : Tag No Tav sur les murs du centre culturel italien.

30, Milan : Dans le quartier Bovisa un siège du Pd est dégradé, en tant que principal souteneur du TAV.

31, Lugano : slogans, banderoles et tracts interrompent  une conférence du procureur de Turin Giancarlo Caselli, invité à parler sur le thème « politique et justice, quel rapport ». L’escorte des magistrats et de la police cantonale éloignent les contestataires a coups de poings et de gaz au poivre.

31 Crema : Tag No Tav sur le mur et feu sur les portes d’entrée d’un siège du Pd.